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Melissa, la ruche comme modèle de pair-aidance
Cette association de migrantes, construite en Grèce sur des principes de sororité, s’affranchit des barrières communautaires et estompe la frontière entre aidées et aidantes.
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Sur le rude terrain de la réalité d’Utopia 56
Vingt-six photos pour témoigner du lien entre ceux qui en ont beaucoup trop vu malgré leur âge, et ces autres jeunes qui donnent de leur temps sans compter.
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« L'après M - Venez comme vous êtes, solidaires ! »
C’est l’histoire d’un McDo devenu le poumon d’une multitude d’initiatives, pour répondre aux urgences et apporter des solutions durables aux plus démunis.
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Bénévoles nantais pendant la crise : 3. Aider les étudiants démunis
Troisième volet de nos reportages autour de la nouvelle génération de bénévoles à Nantes : avec les étudiants de La SurpreNantes Épicerie et InterAsso Nantes.
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Bénévoles nantais pendant la crise : 2. Aide alimentaire au Wattignies Social Club
Dans un lieu d’activités transformé en espace d’aide quotidienne et de distribution de repas aux personnes sans-abri avec de jeunes bénévoles. Reportage photos.
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Bénévoles nantais pendant la crise : 1. Atelier de masques à la mosquée
Reportage auprès de jeunes bénévoles dans un atelier de création de masques pour les plus démunis à la mosquée Assalam de Nantes, suite à la crise sanitaire.
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Cœurs résistants : une épicerie gratuite pour se reconstruire
En plus des maraudes, l’association rennaise Cœurs résistants a ouvert une épicerie gratuite en 2016. Depuis, beaucoup d’anciens bénéficiaires s’y investissent.
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Peyrelevade, un village au cœur du monde
En 2015, Peyrelevade, entre la Corrèze et la Creuse, ouvre un Centre d’accueil de demandeurs d’asile dans l’ex maison de retraite. Le début de nouveaux liens.
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Une épicerie gratuite pour les étudiants en situation de précarité
L’association Cœurs résistants s’est appuyée sur des étudiants et étudiantes pour ouvrir une épicerie gratuite au cœur du campus universitaire de Rennes 2.
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Saint-Just à Marseille : la solidarité dans l’urgence
Pendant presque six mois, un bâtiment du Diocèse a accueilli plus de 250 migrants. Comment bénévoles et associations ont-ils fabriqué au quotidien une chaîne de solidarité ?