-
Au-delà du confinement, les défis des acteurs de la pédagogie
De la validation des cursus aux leçons à tirer, les enjeux de « l’après confinement » d’organismes de formation et d’enseignement auprès de publics fragilisés.
-
En confinement, le suivi pédagogique de publics fragilisés
Comment des organismes d’enseignement et de formation de personnes réfugiées ou en difficulté assurent une continuité pédagogique en pleine crise sanitaire.
-
La solidarité dans les quartiers pendant l’épidémie
Face à la crise sanitaire, les quartiers populaires sont très exposés. État des lieux alors que les associations se réorganisent pour ne pas les abandonner.
-
Low-tech with Refugees : faire mieux avec moins
L’association EKO! donne aux réfugiés et habitants de l’île de Lesbos les moyens de fabriquer ou réparer des solutions techniques pour des besoins fondamentaux.
-
À Marseille, transformer un bidonville en sas d’insertion
Architectes Sans Frontières porte un projet expérimental : plutôt que d’expulser les Roms, prendre le temps de travailler à leur insertion là où ils logent.
-
Lendemains en chantier, le Sanitas à la recherche de son futur
Mené par l’association Pih-Poh, ce programme vise l’amélioration des conditions de vie de ce quartier relégué de Tours. Étape 1 : définir avec tous son avenir.
-
Ticket d’entrée : de la culture au français
Cette association parisienne organise des visites culturelles pour permettre à un public défavorisé de s’approprier la ville et d’apprendre le français.
-
À Tanger, les mères célibataires se font entendre
À Tanger, l’association 100% Mamans accompagne les mères célibataires trop souvent rejetées et leur donne la parole grâce à une radio en ligne qu’elle a créée.
-
« Les Marocains ne croient plus à une solidarité naturelle »
Anthropologue et professeur des universités à l’Institut national des sciences de l’archéologie et du patrimoine à Rabat, Naïma Chikhaoui distingue les notions de bienfaisance et de solidarité au Maroc et revient sur le rôle des associations dans ce domaine.
-
Saint-Just à Marseille : la solidarité dans l’urgence
Pendant presque six mois, un bâtiment du Diocèse a accueilli plus de 250 migrants. Comment bénévoles et associations ont-ils fabriqué au quotidien une chaîne de solidarité ?
- ‹ précédent
- 2 sur 4
- suivant ›