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Melissa, la ruche comme modèle de pair-aidance
Cette association de migrantes, construite en Grèce sur des principes de sororité, s’affranchit des barrières communautaires et estompe la frontière entre aidées et aidantes.
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La Casa Um prend soin des jeunes LGBT+
À São Paulo, ce centre accueille de jeunes LGBT+ expulsés de chez eux en raison de leur identité, leur fournissant assistance sociale et suivi psychologique.
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En Calabre, les migrants revitalisent les villages
Comment le simple geste solidaire d’accueillir des réfugiés a permis de redonner vie à des communes qui se mouraient peu à peu en Calabre, au sud de l’Italie.
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Serena Tallarico : prendre le temps d'accueillir les migrants
Le pari de cette anthropologue et psychologue : réussir l’intégration de réfugiés grâce à une prise en charge globale, psychologique et professionnelle.
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Camini : un village déserté revit grâce aux réfugiés
Grâce à sa coopérative Jungi Mundu, le village de Camini en Calabre accueille une centaine de réfugiés. Une communauté multiculturelle s’est ainsi créée.
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Ces réfugiés sont des compagnons de saison
Le programme Compagnonnage de Fermes d’avenir réserve chaque année 12 places à des personnes réfugiées, qui se forment et travaillent dans des fermes.
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Low-tech with Refugees : faire mieux avec moins
L’association EKO! donne aux réfugiés et habitants de l’île de Lesbos les moyens de fabriquer ou réparer des solutions techniques pour des besoins fondamentaux.
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À Tanger, les mères célibataires se font entendre
À Tanger, l’association 100% Mamans accompagne les mères célibataires trop souvent rejetées et leur donne la parole grâce à une radio en ligne qu’elle a créée.
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« Les Marocains ne croient plus à une solidarité naturelle »
Anthropologue et professeur des universités à l’Institut national des sciences de l’archéologie et du patrimoine à Rabat, Naïma Chikhaoui distingue les notions de bienfaisance et de solidarité au Maroc et revient sur le rôle des associations dans ce domaine.
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Saint-Just à Marseille : la solidarité dans l’urgence
Pendant presque six mois, un bâtiment du Diocèse a accueilli plus de 250 migrants. Comment bénévoles et associations ont-ils fabriqué au quotidien une chaîne de solidarité ?
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